nombre de morts palestiniens depuis 1948

». La seule résistance vient du fort de police tenu par « un petit contingent de légionnaires et d’irréguliers. « Des Sarrasins impies qui menacent de semer la destruction », L'avenir de l'enseignement supérieur aux États-Unis, Chine communiste, 1949-76 (tueries pures et simples, famines provoquées, goulags), Bloc soviétique: fin du stalinisme, 1950-53; post-stalinisme, jusqu'en 1987 (essentiellement les goulags), Éthiopie, 1962-92: communistes, famines artificielles, génocides, Zaïre (Congo-Kinshasa): 1967-68; 1977-78; 1992-95; 1998 à nos jours, Soudan, 1955-72; 1983-2006 (guerres civiles, génocides), Cambodge: Khmers Rouges 1975-79; guerre civile 1978-91, Afghanistan: tueries soviétiques et intestines, talibans 1980-2001, Pakistan occidental, massacres au Pakistan oriental (Bangladesh 1971), Nigeria, 1966-79 (Biafra); 1993 à nos jours, Mozambique, 1964-70 (30.000) + après le retrait du Portugal 1976-92, Algérie: contre la France 1954-62 (675.000); entre les islamistes et le gouvernement 1991-2006 (200.000), Uganda, 1971-79; 1981-85; 1994 à nos jours, Indonésie: marxistes 1965-66 (450.000); Timor oriental, Papouasie, Aceh, etc. Un aperçu de la proportion des mineurs tués pendant le conflit israélo-palestinien. Un seul chiffre en dit parfois beaucoup plus qu’un long discours. La nuit du 6 au 7 janvier, à Qatamon dans la banlieue de Jérusalem, la Haganah fit exploser l’hôtel Semiramis dont ses services de renseignement avaient signalé qu’il abritait des miliciens arabes ; 24 personnes sont tuées[20]. Ils se voient de manière générale refuser le droit au retour à la suite de l'échec des accords de paix5,6,Note 2. 1969 à nos jours (200.000), Angola: guerre contre le Portugal 1961-72 (80.000); après le retrait du Portugal (1972-2002), Brésil contre ses Indiens, jusqu'en 1999, Vietnam, après la fin de la guerre en 1975 (propre population; «boat people»), Burundi, 1959 à nos jours (Tutsis/Hutus), Corée du Nord jusqu'en 2006 (propre population), Kurdes en Iraq, en Iran, en Turquie, années 1980-1990, Iraq, 1970-2003 (Saddam Hussein contre des minorités), Serbie contre Croatie, Bosnie-Herzégovine, Kosovo, 1991-1999, Russie contre Tchétchénie, 1994 à nos jours, Philippines: 1946-54 (10.000); 1972 à nos jours (120.000), Iraq, 2003 à nos jours (troubles intérieurs), Nicaragua, 1972-91 (marxistes/autochtones, etc. Selon Yoav Gelber, ce fut un « massacre plus sanglant que Deir Yassin[63] ». Thèmes connexes:  Conflit et diplomatie israélo-arabes Selon elle, ce sont des civils qui se sont réfugiés dans la mosquée, pensant que les Israéliens n’oseraient pas profaner le sanctuaire. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. inscription à la liste de diffusion hebdomadaire gratuite de daniel pipes. À l'encontre des Juifs d'en dehors de Palestine, « dans presque chaque village conquis (…), les forces sionistes commirent des crimes de guerre tels que des tueries sans discrimination, des massacres et des viols, « apporta avec lui des actes atroces de tueries en masse et de boucheries, des milliers de Palestiniens furent impitoyablement et sauvagement tués par des soldats israéliens de toutes conditions, rangs et âges, « les sentiments durs [des soldats] à l’encontre des Palestiniens », « vengeance générale et un désir des commandants locaux de précipiter l’, « [guerre] de 1948 est notable pour le relativement faible nombre de victimes civiles tant à la suite des batailles elles-mêmes qu'à la suite des atrocités qui les accompagnèrent [en comparaison, par exemple,] avec la, « le massacre de Deir Yassin fut pour une grande part la cause de l’indignation des nations arabes et le facteur le plus important pour l’envoi des armées arabes », « les actions [de leurs armées] impliquent que les objectifs de l’invasion arabe étaient limités et focalisés sur le sauvetage des Arabes de Palestine d’une domination juive totale. Les Palestiniens sont les seuls au monde dont le status de réfugié se transmet héréditairement de père en fils, ce qui fait que leur nombre est passé d’environ 700.000 à plus de 5.000.000 en 2015 !Il est évident qu’Israël ne peut en aucun cas accepter un tel nombre de Palestiniens car il disparaîtrait . Benny Morris pense que les massacres furent motivés par un sentiment de « vengeance générale et un désir des commandants locaux de précipiter l’exode des Palestiniens[1] ». Depuis, la clef de leur maison qu’ils ont emportée avec eux n’a toujours pas pu en ouvrir la porte. Le 7 janvier, à Jérusalem, des membres de l’Irgoun lancèrent une bombe à un arrêt de bus, tuant 17 personnes[21]. Le Coran : solution à l'impasse politique en Israël ? Les Palestiniens de Gaza se préparent à traverser la clôture de séparation avec Israël [Palestine de 1948] Les organisateurs de la Grande marche du retour disent s’attendre à ce qu’un million de personnes rejoignent la manifestation et tentent de franchir la barrière avec Israël depuis différents points de la clôture de séparation. Selon Benny Morris, la description de ce raid par un des soldats « combine les éléments d’une bataille et d’un massacre[56] ». À la suite de cette décision, le 29 novembre 1947, l’Assemblée générale des Nations unies votait le Plan de partage de la Palestine alors sous mandat britannique. La première attaque contre Lydda se produit l’après-midi du 11 juillet quand une colonne de véhicules blindés et de jeeps du 89e bataillon traverse la ville en « mitraillant tout ce qui bouge. D'abord une guerre de basse intensité. Selon Benny Morris, en dépit de leur rhétorique, les armées arabes perpétrèrent peu d’atrocités et aucun massacre de prisonniers à grande échelle bien qu’ils eurent l’occasion de le faire quand ils prirent la Vieille Ville de Jérusalem ou les implantations d’Atarot (en), Neve Yaakov, Nitzanim, Gezer (en) et Mishmar-Hayarden[1]. Il souligne toutefois la mort massive de membres du personnel médical non armés[1]. Le conflit israélo-arabe n'apparaît, en gras, que très bas dans ce classement: Conflits intervenus depuis 1950 et ayant fait au moins 10.000 victimes*. Ilan Pappé considère que les témoignages des anciens soldats de la brigade Alexandroni ainsi que ceux des réfugiés palestiniens prouvent qu’au moins 200 villageois non armés furent tués. Benny Morris ajoute qu’« après la guerre, les Israéliens essayèrent de mettre en avant la « Pureté des armes » de ses miliciens d'avant mai 1948 et de ses soldats après l'indépendance, en contraste avec la barbarie arabe, qui à l’occasion s’exprima dans la mutilation de corps de juifs capturés. Nadine Picaudou a étudié l’évolution de l’historiographie palestinienne de la guerre de 1948. Il ne présente néanmoins pas d’importance stratégique et ses habitants n’ont fait preuve d’aucune hostilité, au contraire. Le nombre de Palestiniens en Cisjordanie et dans la bande de Gaza est passé de 2 895 683 en 1997 à 4 780 978 en 2017, a annoncé mercredi le … Il considère aussi que les belligérants se comportèrent relativement bien et que la « [guerre] de 1948 est notable pour le relativement faible nombre de victimes civiles tant à la suite des batailles elles-mêmes qu'à la suite des atrocités qui les accompagnèrent [en comparaison, par exemple,] avec la Guerre de Yougoslavie des années 1990 ou les Guerres civiles soudanaises des 50 dernières années[1] ». Des dizaines de milliers de Palestiniens de la bande de Gaza, territoire coincé entre Israël, l’Egypte et la Méditerranée, se rassemblent depuis le 30 mars auprès de la frontière, revendiquant le droit des Palestiniens à retourner sur les terres dont ils ont été chassés ou qu’ils ont fuies à la création d’Israël en 1948. (L'ajout des 11.000 victimes de la guerre d'indépendance israélienne, de 1947 à 1949, soit 5000 Arabes et 6000 Juifs israéliens, n'affecte pas sensiblement ces résultats.). » Des centres de détention sont mis sur pied dans les mosquées et les églises pour les mâles adultes et entre 300 et 400 soldats israéliens prennent garnison dans la ville. Site internet de l’Ambassade d’Israël à Londres se référant à Zeez Vilani. » Elle pense que durant la période pour laquelle « la mémoire collective se mobilisait autour du nationalisme palestinien, un événement exemplaire suffisait pour exprimer la tragédie. Destruction délibérée des villages arabes pour prévenir tout retour des Palestiniens. Selon Ilan Pappé, dans le contexte de ce qu’il nomme un nettoyage ethnique qui « apporta avec lui des actes atroces de tueries en masse et de boucheries, des milliers de Palestiniens furent impitoyablement et sauvagement tués par des soldats israéliens de toutes conditions, rangs et âges[10]. Les assaillants souffrent de lourdes pertes et des civils sont tués dans les échanges de tirs. Le matin du 12 juillet, la situation est calme mais vers 11 h 30, un incident se produit. », « la solution proposée pourrait mettre en danger un million de Juifs vivant dans les pays musulmans. Le vote fut immédiatement suivi d’une flambée de violence où les Arabes palestiniens, soutenus par l’Armée de libération arabe, et les Juifs palestiniens s’affrontèrent tandis que les Britanniques cessent de maintenir l'ordre si ce n'est pour protéger les biens et immeubles britanniques, ainsi que les personnels civils et militaires de la Couronne encore présents sur place. Il a été annoncé, mardi 26 août, par les belligérants eux-mêmes. Les pertes furent toutes civiles, principalement arabes bien qu’il y eut quelques soldats dans le train qui ne furent pas blessés. » En référence à l’étude publié en 2007 par Saleh Abdel Jawad, Zionist Massacres: the Creation of the Palestinian Refugee Problem in the 1948 War, elle écrit que les massacres n’intéressèrent les historiens palestiniens que relativement tard mais que quand les « Palestiniens commencèrent à écrire leur histoire, la problématique des massacres devint inévitablement un des facteurs prépondérants dans l’étude de l’exode de masse[47] ».

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