L’idée en question (i. e : d’une éventuelle adhésion de l’Etat d’Israël à l’UE...) a surtout été évoquée - meso vocce (et en arrière plan) - à l’occasion de la conférence de paix de Madrid (en 1989) et à la suite des accords de paix d’Oslo (en 1992). » Alors, une fois qu’on a dit « exit, le rêve européen » et déclaré mort-née la « Communautée abrahamique », que reste-t-il donc alors comme perspective stratégique de long terme pour l’Etat d’Israël ? 16. De jeunes Israéliens participent aux programmes d'échange en Europe et dans d'autres pays méditerranéens grâce au Programme euro-méditerranéen d'action pour la jeunesse. Mais n’oublions pas le point de vue Israélien ! Je vous cite « Le cas est également spécifique dans la mesure où une proportion importante de la population de l’Etat d’Israël est effectivement originaire de pays actuellement membres de l’UE (quand ils n’y sont pas nés, voire encore citoyens). Le 14 mai 2008 à 22:31, par Manu Oui, il n’y a sans nul doute pas eut le moindre mandat démocratique pour ouvrir de telles perspectives. En Israël, être ou ne pas être juif Par Piotr Smolar. En raison de son haut niveau de revenu national, Israël n'est pas éligible pour recevoir des fonds du programme européen MEDA[8]. 33 % des exportations israéliennes allaient vers l'UE et 40 % de ses importations venaient de l'Union. Pour être accepté dans l’UE, il faut absolument que tout Etat candidat ait intégré l’acquis communautaire. A partir du moment où l’Empire soviétique (et les menaces qu’il portait) s’écroulait, l’intégration future de l’Europe centrale (de "vrais européens", ceux-là, n’est-ce pas ?!) Il en existe quelques-uns de plus, mais tous les autres pays du monde ne sont pas d’accord pour dire que ce sont de vrais pays (par exemple l’Etat d’Israël ou la Corée du Nord). En revanche, dans une logique d’Europe à cercles concentriques, ou de redéfinition du rôle de l’Union comme celle qu’envisage Michel Rocard (non plus une union politique à vocation fédérale mais un simple outil pour exporter démocratie et prospérité à nos frontières), l’adhésion d’Israël aurait sa place à côté de l’Ukraine, du Caucase, du Maroc, de la Palestine ou de la Turquie par exemple. http://assolaguillotine.wordpress.com/europe-israel-de-david-cronin/. Et c’est là une condition non négotiable... ainsi que la seule véritable « frontière » de l’Union (la seule qui puisse être véritablement contrôlable, d’ailleurs). Je pense que vous êtes en grande partie dans le vrai ; Nb : mon article n’avait pas pour objectif de "proposer" l’adhésion d’Israël à l’UE... mais juste d’essayer de "faire le point" sur cette question (d’où le titre interrogatif, d’ailleurs...). A ce titre, il en ira donc - dans l’avenir - de la place d’Israël (dans le monde, dans son environnement « méditerranéen », etc.) Les exportations européennes vers Israël atteignaient 12,75 milliards d'euros en 2004 alors que les exportations de l'État hébreu vers le Vieux Continent s'élevaient à 8,6 milliards. Car si on intègre Israël (sur le critère de l’UEFA ?) Le 29 mai 2008 à 13:40, par Fabien Cazenave Culturellement parlant, Israël est probablement plus européen que la Turquie. Protocole n° 1 relatif aux dispositions applicables aux importations dans la Communauté de produits agricoles, Protocole n° 2 relatif au régime applicable à l'importation en Israël de produits agricoles originaires. En réponse à : L’Etat d’Israël dans l’Union européenne ? Je ne vois aucun argument qui accepterait la Turquie et nous donnerait une frontière directe avec l’Irak, qui ne s’appliquerait également à … Attention, votre message n’apparaîtra qu’après avoir été relu et approuvé. I. e : non pas à cause de critères géographiques contestables ou à cause de critères culturels filandreux et sulfureux, mais à cause des blocages institutionnels qui affectent aujourd’hui l’UE (et qu’il faut traîter prioritairement) ou à cause des atteintes à l’esprit européen dont sont responsables certains de ces Etats candidats (c.a d. : non respect des normes de droit en vigueur dans l’Union, état d’esprit national-souverainiste de leurs dirigeants, etc.). En même temps, soyons définitivement clairs : ce qui fait la véritable cohérence de l’Union, ce sont les politiques communes (sinon la « vision » partagée...). Néanmoins, Israël participe à de nombreux programmes régionaux financés par le MEDA : Bien qu'Israël ne soit pas situé en Europe, il se considère comme faisant partie de la « famille européenne », culturellement parlant[10]. En ce 60’ anniversaire de l’indépendance de l’Etat d’Israël (et étant donnée que la question a - déjà - été évoquée dans un passé encore relativement proche...), je crois que ça valait tout de même la peine de le dire. Cela devrait vous indigner, non ? L’intégration d’Israël dans l’Europe : vous avez raison de dire que ce n’est pas un souhait Israëlien (du moins loin, pas majoritaire...), vous avez également raison de dire que c’est la seule Europe qui s’est fait plaisir toute seule en lançant cette idée puisque vous avez de même parfaitement raison d’affirmer que ce sont les seuls responsables de l’UE qui ont émis en premier cette hypothèse d’un Israël européen. Permettez moi de dire que - précisément - tout le problème est là... Pour ma part, dans l’éventuel choix à faire entre « intégration à l’UE » et « Middle East Union », juste vous dire que - pour ce qui me concerne - bien peu m’importerait pourvu que cette intégration politique soit synonyme de paix pour la région. Le 15 mai 2008 à 16:50, par Ronan Quand au vent en poupe de la Turquie, de quoi parlez vous précisément ? Les élargissements prématurés de 1995 et de 2004 ont enrayés la capacité du système institutionnel européen à se réformer. Puisque c’est finalement sur ces bases là que s’organisent - actuellement - les relations entre l’UE et l’Etat d’Israël (autre thème développé dans l’article ci-dessus...). Et c’est d’ailleurs précisément ce à quoi Nicolas Sarkozy tente de remédier avec son maladroit projet d’ « Union pour la Méditerranée » (souvent interprétée par les Turcs comme une ultime tentative de leur faire avaler un ersatz, palliatif à une adhésion refusée...). En réponse à : L’Etat d’Israël dans l’Union européenne ? Vos raccourcis sont hardis : ce n’est pas moi et ce n’est pas "nous" (mais les autorités communautaires de l’époque) qui ont "refusé" d’examiner la candidature du Maroc. C’est pourquoi, nul dépôt de candidature de l’Etat d’Israël pour adhésion à l’UE ne semble de toute façon sur le point d’être officiellement déposée. Les événements de 1989-1990-1991 allaient tout changer... La réunification allemande et le dégel à l’Est ont définitivement fait basculer le "centre de gravité" européen vers l’Europe centrale. Car voilà là une déformation évidente de la pensée d’autrui à la limite de la diffamation explicite. Un projet de paix "abrahamique" qui ne fait, actuellement, pourtant plus guère recette dans un Etat d’Israël aujourd’hui inquiet à l’idée d’une éventuelle intégration régionale (dans un environnement arabo-musulman présumé foncièrement hostile…) et plus que jamais tendu vers l’allié américain. Son indépendance est proclamée le 14 mai 1948, après le vote du plan de partage de la Palestine le 29 novembre 1947 par l'Organisation des Nations unies qui met fin au mandat britannique et qui prévoit la création d’un État juif et d’un État arabe. SInon en quoi le cas d’Israël est spécifique selon le vous mis à part les approches de l’UE au demeurant hardies ? En effet, je termine par quelque chose qui m’a choqué et pas seulement moi. Accord entre Israël et l’Union européenne, Accord euro-israélien de stabilisation et d'association, Traités bilatéraux entre l'Union et Israël, Représentation d'Israël auprès de l’Union européenne, Représentation de l’Union européen auprès d'Israël. Une participation d’Israël à l’UE serait un non sens géostratégique grave. Concernant Israël, oui il y a eut des discussions de couloir à Oslo ou ailleurs., qui n’ont effectivement aujourd’hui plus grande valeur dans la mesure où, aujourd’hui, les peuples et Etats concernés par ces conversations ne se reconnaissent finalement pas du tout dans ces perspectives. Actuellement le Maroc n’a pas intégré l’acquis communautaire. 7. Mais je voulais - dans le post précédant - évoquer une autre question : en fait la Turquie n’a visiblement trouvé d’intérêt aux yeux de nos dirigeants européens, jusque dans les années 1980, que pour des raisons stratégiques et militaires et que dans la mesure où il existait une certaine URSS (et ce , même lorsque la Turquie était une dictature militaire). L’Etat d’Israël dans l’Union européenne ? Encore une fois de quel droit, selon votre approche, avons nous refuser d’examiner la candidature du Maroc ? Quant aux critères d’adhésion je les connais par coeur. En réponse à : L’Etat d’Israël dans l’Union européenne ? Il n’est pas besoin d’en rajouter. Israël est déjà dans l’Union européenne, voir le livre de David Cronin http://assolaguillotine.wordpress.com/europe-israel-de-david-cronin/. Le gouvernement avait annoncé qu'il considérait que les droits de douane ne pouvaient pas être annulés pour les « biens provenant des territoires occupés »[5]. Le 14 mai 2008 à 17:59, par ArnaudH Le 15 mai 2008 à 16:43, par Ronan Juste dire que celle-ci n’est pas opportune à l’heure actuelle, c’est tout (Et de toute façon pas d’actualité tant que le Maroc ne formulera pas officiellement une nouvelle candidature). En basket, la sélection masculine israélienne a remporté deux fois les Jeux asiatiques (en 1966 et en 1974) . Impossible de rester de glace en s’imaginant un premier voyage en Israël. [1] L’entité autonome palestinienne — voire le Liban — se voyant également présentées de semblables perspectives... [2] Rappellons que d’après les ’’Saintes écritures’’, Juifs et Arabes seraient les descendants d’un même ancêtre commun : Abraham-Ibrahim ; lequel « ancêtre commun » aurait eu pour descendants Ismaël (ancêtre mythologique des Arabes), ainsi qu’Isaac et Jacob-Israël (lui même ancêtre éponyme des Juifs). Une telle décision ne m’indigne donc aucunement. Cet accord est modelé d'après le réseau d'accords passés entre l'Union européenne et ses voisins du sud de la Méditerranée. Le 23 mai 2008 à 02:58, par Byzance Or, l’article précédant dit que c’est justement le contraire qui s’est produit (de la défiance et de la méfiance), ne serait-ce qu’à cause des conditions mêmes du départ de ces gens d’Europe vers la Palestine (et à cause de l’antisémitisme dont certains de ces migrants récents disent avoir été victimes). Aujourd’hui on prend en compte la candidature de la Turquie alors que l’intégration des PECOS est loin d’être finie, cela n’est pas très cohérent. Qui n’a de toutes façons qu’un infime pourcentage de son territoire en Europe. NB : Une perspective intéressante, admettons : si tant est qu’elle soit effectivement partagée... Or l’essentiel de cet article tend à précisément vouloir dire le contraire ! Et bien, c’est pourtant très simple : l’UE s’arrête là où sont les frontières extérieures de ses seuls Etats membres. Le 15 mai 2008 à 17:18, par Ronan Et quand on voit votre zèle à écarter - a priori - toute éventuelle candidature turque à l’Union européenne exclusivement en fonction de critères identitaires douteux (que je rejettes - pour ma part - de façon radicale pour considérer toute éventuelle perspective d’adhésion : Turquie, Maroc, Israël ou qui que ce soit d’autre), on ne peut s’empêcher de penser - en lisant vos commentaires - que c’est là vraiment l’hopital qui se fout de la gueule de la charité.
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